Yamaha Off-Road Experience et Beaujolais, l’accord parfait

Yamaha Off-Road Experience et Beaujolais, l’accord parfait

Le Yamaha Off-Road Experience, seconde édition, se termine sur une très belle note. Entre les randonnées, les animations et la gastronomie, l’événement était bien aux 3 diapasons !

Le Yamaha Off-Road Experience pose à nouveau ses roues en Beaujolais. Une terre gourmande où la gastronomie est reine. Après la réussite de la première édition en mars 2022, le menu fignolé par Tom Siu (Yamaha Motor), Lucas Rosset (Amada Aventure) et leurs équipes pour ce deuxième Yamaha Off-Road Expérience, mérite trois étoiles … ou plutôt trois diapasons !

La commune de Régnié-Durette affichait un beau Bleu Yamaha tout au long de week-end de mars !

Surtout au vu du subtil équilibre des saveurs d’un accueil chaleureux et de randonnées copieuses, accompagnées d’un encadrement efficace. Le tout pimenté d’animations originales et servi dans une ambiance festive. Bref, tout ce qu’il fallait pour régaler la centaine de passionnés de la marque japonaise venus de tous les coins de France.

Les pistes du Beaujolais offrent un terrain de jeu idéal pour les 700 Raptor !

Exploration du Haut-Beaujolais

Les stands d’exposition débordent de véhicules de démonstration, buvette et atelier mécanique. Yamaha a installé pour l’occasion, un véritable village devant la halle des sports de Régnié-Durette. Un petit village viticole au Nord de Lyon, bien connu pour accueillir le Raid Bleu.

Une piste de démonstration de trail mettait en valeur les capacités intrinsèques de Wolverine RMAX1000 !

Samedi matin, les formalités administratives rapidement expédiées, le briefing terminé, les groupes de quads s’élancent dès 9h15. Pour la première des quatre boucles, une soixantaine de kilomètres s’annonce à l’entame du week-end. Nous découvrirons ainsi, par des chemins souvent caillouteux et pentus, toutes les richesses et la variété du Haut-Beaujolais : des versants boisés ou bocagers de la Vallée de l’Azergues aux pistes de crête culminant à plus de 1000 mètres d’altitude autour du Mont Saint Rigaud. En passant par les corniches rocailleuses qui dominent l’océan de vignes d’où émerge le célèbre Mont-Brouilly.

Raptor, YFZ, Grizzly ou Kodiak, qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse !!

Pour retrouver des forces, chaque boucle se terminait par un solide repas à Régnié-Durette. Pas de difficultés majeures sur ces parcours. Mais de belles bassines bien remplies quand même, à franchir juste avant de terminer le week-end. Seule ombre au tableau, une commune redoutant l’arrivée « d’un cortège de plusieurs centaines de quads », a interdit le passage sur ses terres…

Les possesseurs de YXZ1000R apprécient tout autant la topographie du terrain.

Quizz, musique et back-flip

Pour entretenir l’ambiance durant tout ce week-end ensoleillé, Pierre Gauthier a repris le micro au regretté Yves Crouzet… Tout en faisant preuve d’autant d’enthousiasme que son ami. A lui la présentation hollywoodienne des nouveaux Grizzly 700 “25e anniversaire“ et RMAX 1000 Limited, de la garantie 10 ans des courroies avec “Belt-man“. Sans oublier le sympathique trio de musiciens au répertoire éclectique qui accompagna nos diners.

Que serait une vraie rando sans sa sacro-sainte pause casse-croûte ?

La soirée fut même ponctuée d’un quizz sur la réglementation, animé par la présidente du Codever, Edyth Quincé. Tandis que, malgré une aire d’évolution réduite, David Tharan enchaînait des shows de freestyle à vous mettre la tête à l’envers !

Le freestyler David Tharan a de nouveau conquis les spectateurs avec son show de haute voltige.

A chaque retour de rando, le Béarnais assure une ambiance incroyable au guidon de son YFZ450R. Alors, que demander de plus ? Rien, bien sûr, sinon de réserver sa place pour la prochaine édition ! Entre temps, Yamaha et Amada posent un rendez-vous plus sportif au Domaine de Préfaissal. Ces Yamaha Track Days se dérouleront les 13 et 14 mai à Mézel (04). Les inscriptions sont déjà en ligne ici !

En mars, les randonnées évitent rarement les bourbiers… Mais qui s’en plaindra ?

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